Dimanche 13 décembre.
Un vieux bus, style « School bus américain », nous conduit sur le site des chutes d’Iguazu, côté argentine.
Avant de quitter le terminal, je demande au chauffeur si le bruit du moteur est normal, et il m’affirme qu’il n’y a aucun problème, pourtant il me semble …..mais je n’insiste pas…
Quelques kilomètres plus loin, il reconnaît qu’effectivement il y a un problème car nous sommes immobilisés sur le bord de la route, moteur cassé…
Pour la première fois de notre vie, nous faisons du … « Bus stop »...
Au bout d’une dizaine de minutes, nous empruntons un autre bus, qui déjà était complet, mais nous n’avons pas le choix.
A l’arrivée, nous empruntons un petit train qui nous conduit au point de départ de différents circuits.
Comme dans tous les parcs nationaux argentins et chiliens, il faut acquitter un droit d’entrée et une taxe d’état.
Le premier européen à les contempler fut Alvar Nunez de Vaca au XVIme siècle, lors de la conquête du pays par les conquistadors espagnols.
Elles sont inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1984 pour la partie argentine et 1986 pour la partie brésilienne.
Elles sont situées au beau milieu de la forêt tropical à la frontière entre le Brésil et l’Argentine.
En langue « guaraní » Iguazú veut dire « des eaux grandes ».
Ici nous sommes à 1.350 Km de Buenos Aires.
Ici en Argentine on les appelle : « Cataratas del Iguazu », et côté Brésil : « Cataratas do Iguaçu ».
Ces chuTes se situent sur le rio Iguazu, qui est un affluent du rio Parana, entre la province brésilienne du Parana et la province argentine Misiones.
La majorité de ces chutes est Argentine.
En réalité, il y a 275 cascades sur un front d’environ 2,5 kilomètres.
La plus haute d’entre elles, appelée : « Garganta del diablo » ou « gorge du diable » a une hauteur de 80 mètres, 700 mètres de long et 150 mètres de large.
En ce moment le débit moyen est de 6.000 m3 par seconde.
Nous avons pris la précaution d’acheter des sacs poubelles afin de protéger nos affaires des embruns.
Sur cette cacade c’est la douche assurée, mais avec la température ambiante, c’est un plaisir de se rafraîchir.
La visite des différentes chutes s’effectue sur des passerelles métalliques.
Nous croisons régulièrement des « coatis », peu farouches, et d’autres animaux d’un abord moins sympathique, de la famille des iguanes.
Le coati est un petit mammifère qui ressemble au raton laveur, il mesure entre 40 et 60 cm sans la queue et vie en bande. Il est omnivore et dort dans les arbr
Quand on est devant ces chutes grandioses,, il est difficile d´exprimer les sentiments d´émotion et de respect pour la nature que l´on ressent.
Les Routards époustouflés.
lundi 14 décembre 2009
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