mardi 15 décembre 2009

Les chutes d'Iguazu du Brésil.

Lundi 14 décembre.
















Nous prenons la direction du Brésil, pour aller sur le site des chutes d’Iguazu.
La frontière n’est qu’à une dizaine de kilomètres de Puerto Iguazu.

Après avoir quitté le territoire argentin, nous changeons de bus.
Ce qui nous surprend c’est que ce dernier ne s’arrête pas à la frontière du Brésil.

Nouveau bus dans la ville de Foz de Iguazu, afin de rejoindre le Parc national.
Nous Y rencontrons un couple de Français de Bagnoles-sur-Cèze très sympathique,
Jean-Yves et Kathia.
C’est en leur compagnie que nous visiterons les chutes.

Nous empruntons un nouveau bus depuis l’entrée du parc jusqu’au point de départ de la visite.
Des chemins aménagés serpentent à flanc de colline le long des chutes.
D’ici on aperçoit la partie argentine, c’est tout simplement « Grandiose »

L’approche des chutes est différente d’hier; elles sont moins importantes mais on a l’impression de pouvoir les toucher…

Nous empruntons une passerelle, en prenant la précaution de mettre nos affaires dans des sacs poubelles protecteurs, nous en faisons bénéficier nos nouveaux amis, (royale cadeau !), je protège ma caméra, et heureusement car au bout de la passerelle, nous prenons une douche d’embruns, et tous les quatre, nous sommes mouillés des pieds à la tête.
Mais avec la température ambiante, plus de 30 degrés, nous trouvons cela fort agréable.

Deux heures sont suffisantes pour faire l’intégralité du site.

Il est l’heure de prendre le chemin du retour, notre avion est à 17 heures, et nous ne sommes pas à l’abri d’un retard, ici la notion du temps est différente de nous autres en europe.

A la sortie du Brésil, nous posons un problème au Fonctionnaire de la Police aux frontières.
Comment mettre un tampon de sortie sur notre passeport qui ne possède pas de tampon d’entrée !

Il ne s’explique pas comment nous sommes rentrés au Brésil sans passer par un poste de Police.
Suite à mes explications, il décide de ne pas tamponner « Salida » (sortie), alors qu’il n’y a pas de tampon « Entrada » !
Ces démarches ont durées un petit moment, aussi le chauffeur de notre bus a perdu patience et ne nous a pas attendu……

Il nous faut nous patienter plus d’une heure pour retrouver un bus de la même compagnie.

Puis direction de l’aéroport de Puerto Iguazu.

Après une heure trente de vol, l’aéroparqué de Buenos-Aires est en vue.

La température est de 24 degrés, ce qui nous change des 33 d’Iguazu.

Ce sera notre dernière nuit argentine, demain fin du périple et retour vers l’hémisphère nord et …le froid.

Les Routards encore routards pour quelques heures…..

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